La Chambre syndicale de la sophrologie, membre de la CNPL, se réforme pour affronter les nouveaux défis de la représentativité professionnelle. Après quatre années d’existence et près de 5000 membres, la Chambre syndicale de la sophrologie doit engager des réformes structurelles et fonctionnelles pour relever les nouveaux défis de la représentativité professionnelle imposés par la loi du 5 mars 2014 (Code du Travail), notamment pour la reconnaissance professionnelle. Pour cela, le Conseil d’administration a souhaité principalement engager les réformes suivantes : suppression des critères « actifs » et « passifs » des membres afin qu’il n’existe plus qu’une seule catégorie. Ainsi tous les membres auront les même droits et les même devoirs ; suppression des collèges de membres, qui imposaient d’adhérer à un collège précis (sophrologue, formateur ou école), puisque 99 % des membres sont sophrologues ; possibilité de voter en ligne aux assemblées générales afin de faciliter l’implication de tous les membres dans les décisions ; passage de l’adhésion à 1€/mois (12 €/an) pour l’ensemble des membres à partir du 1er janvier 2016 afin d’assurer l’équité entre les membres et répondre aux charges de fonctionnement. La Chambre syndicale de la sophrologie est convaincue que ces réformes permettront d’améliorer la reconnaissance de leur profession. Source : www.chambre-syndicale-sophrologie.fr – Article de Catherine ALIOTTA Photo : Catherine ALIOTTA – Présidente de la Chambre syndicale de la sophrologie